Tous ceux qui avaient choisi de renouveler leurs inscriptions ou qui avaient fait le choix de participer à cette deuxième version étaient présents et ponctuels ce samedi 03 octobre au départ de Forges les Eaux, jour de braderie et cela n’était pas prévu, d’où quelques complications pour le stationnement.
A l’heure prévue un cortège de 15 motos prenait la route pour le département de l’Aisne.
Michel n’avait pas eu trop de difficultés à nous trouver de jolies routes pour la première partie du trajet.
A Breteuil après une bonne heure de route sous de beaux rayons de soleil, petite pause pour permettre à ceux qui en éprouvaient le besoin d’éliminer le café du matin.
Notre balade repris avec une fin d’itinéraire que je qualifierais de « morne plaine ».
A l’auberge du Vermandois nous étions attendus pour le déjeuner, à notre arrivée surprise, Hervé qui avait prévu de nous rejoindre depuis son Nord natal nous attendait avec sa nouvelle « monture ».
Eh oui je pense que nous étions une des premières sorties du club à laquelle la toute nouvelle R18 participait. Admirée par ceux qui ne l’avait pas encore vu en concession.
Avec Jean-Louis et Katia qui arrivaient de Seine et Marne ainsi que Catherine qui n’avait trouvé sa place sur la R18 notre effectif était au complet.
Après le déjeuner, pas le temps de s’endormir car il ne nous aura fallu qu’une vingtaine de minutes pour rejoindre Saint-Quentin et le village des métiers anciens et attendu par beaucoup le musée Motobécane.
Là une charmante guide su captiver notre attention pendant plus de deux heures trente.
L’horlogerie, la bourrellerie, la forge, la laiterie etc…et beaucoup d’autres échoppes regorgeants de trésors enfouis et pour terminer la collection qui retrace l’histoire de ce fleuron et de l’évolution en cycles, motocyclettes et motos qu’était Motobécane.
Nous rejoignons en cette fin d’après-midi notre hôtel, nous profitons sur le trajet d’une station-service pour le complément des pleins, à cette occasion notre grand docteur Werner ne pouvant ouvrir son bouchon de réservoir croyait être trahi par son électronique, simple mauvaise manœuvre d’un bouchon mal fermé et sur une intervention d’un copain motard tout rentra dans l’ordre non sans quelques colibets.
Bien entendu ce fut l’objet des discutions d’une très chaleureuse soirée et c’est assez tardivement que chacun pris la direction de sa chambre.
Dimanche matin nous fûmes chouchoutés au PDJ car Covid oblige pas question de ce servir soit même.
A 9 heure direction Guise et son familistère, magnifique ensemble, œuvre de Jean-Baptiste André Godin génial industriel et expérimentateur social.
Là encore un guide très affuté sus parfaitement nous conter l’histoire de cet industriel et de son « Palais social » et répondre sans hésitation aux questions pièges de notre grand docteur Werner.
Cela nous amena à notre repas dans l’ancienne Buanderie de la cité où ce fut le moment parfait pour faire le bilan de cette automnale, féliciter Danielle et Michel Bassot pour la préparation de celle-ci, avoir eu le plaisir d’accueillir de nouveaux participants et d’avoir une nouvelle fois passé un moment de pure convivialité.
Une dernière photo de groupe au pied de la statue de J-B-A Godin devant le pavillon central et par petits groupes en fonction des destinations de chacun ce fut le retour dans nos foyers.
Merci à tous pour vos témoignages de sympathie,
L’animateur de région
Thierry Dupont
rouen@bmwmcf.com